« Le ciel sait que l’on saigne sous nos cagoules » énonçait-il en 2006, sa voix vierge d’envolées autotunées, étreinte par les notes de la balade préférée des Français, celle du bonbon…
« Le ciel sait que l’on saigne sous nos cagoules » énonçait-il en 2006, sa voix vierge d’envolées autotunées, étreinte par les notes de la balade préférée des Français, celle du bonbon…